Les premiers pas d’une soumise

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il y a 5 ans

Vendredi soir, 19 h 55, F. se présentait devant l'immeuble de son futur Maître pour sa première séance de soumission. Elle était tendue comme une corde à piano.

F. était une jeune femme dynamique pas vraiment belle et plutôt ronde. Jusque là, sa vie sexuelle était restée dans la norme. Elle s'était intéressée aux pratiques BDSM au hasard de ses lectures et suite à une pulsion. La lecture du "Lien" l'avait finalement décidé à franchir le pas. Après quelques expériences par Minitel, elle avait créé un site Internet pour trouver son Maître. Après de nombreuses propositions plus ou moins intéressantes et des discussions avec des Maîtres confirmés, son choix s'était porté sur L.

Il était un peu plus âgé qu'elle, pas d'une très grande beauté et était lui aussi débutant dans l'art BDSM. Ils s'étaient rencontrés à trois reprises auparavant et avaient décidé de faire ensemble leur apprentissage. Ils avaient rédigé un contrat de soumission qui réglerait leur relation. Pour la soirée, il lui avait donné quelques instructions : se présenter à 20 heures précises chez lui, se préparer comme si elle rencontrait un amant traditionnel, s'habiller avec des vêtements qu'elle n'utiliserait plus et prévoir des vêtements de rechange.

19 h 59, elle était devant sa porte. Son Maître habitait au troisième étage mais elle avait pris son temps dans l'escalier afin d'essayer de se calmer. En pure perte d'ailleurs, car plus elle gravissait les marches, plus son esprit et son corps se tendaient. La minute qui la séparait du point de non-retour lui parut interminable. Les yeux fixés sur la trotteuse, elle voyait avec appréhension l'aiguille se rapprocher du moment où elle n'aurait plus le choix. A 20 heures, elle devrait franchir le pas.

20 h, elle frappait à la porte et Maître L. lui ouvrait.

"Bonsoir, comment allez-vous ? Vous avez passé une bonne semaine ?"

"Excitante et difficile à la fois ! J'étais très nerveuse à l'idée de commencer mon initiation."

"Ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer ! Ne restez pas dehors. Entrez."

Il lui proposait de boire un verre et ils discutaient un moment de choses et d'autres. A aucun moment ils n'évoquaient la suite de la soirée. F. faisait de gros efforts pour ne pas montrer sa nervosité. Mais, L. sentait la tension chez sa future soumise. Par sadisme, il souhaitait maintenir cet état de fait.

"Vous pourriez me préparer un café. Vous trouverez tout ce qu'il vous faut dans le placard au-dessus de la cafetière."

"Bien sûr, avec plaisir."

Alors qu'elle préparait le café, elle l'entendait s'approcher derrière elle. Sous l'emprise de la peur, elle n'osait pas se retourner. Il lui mettait un collier autour du cou et avant de le seller il lui disait d'une voix douce : "Fermez les yeux... Voilà, c'est bien... Ce collier est le signe que désormais, vous m'appartiendrez corps et âme. Je ferai de vous ce que mon bon plaisir me dictera. Je vous rappelle que si vous estimez que nous allons trop loin, vous aurez la possibilité de mettre votre veto aux séances. Vous n'aurez qu'à dire "bleu" et nous arrêterons. Si vous ne pouvez pas parler, faites simplement un signe de la tête ou d'une partie de votre corps restée libre. Je réagirai uniquement à ce mot et à ce signe. Vous aurez beau demander grâce, me supplier, pleurer, vous débattre. Temps que vous n'aurez pas prononcé ce mot, je n'arrêterai pas. Si durant les 5 secondes qui suivent, vous ne dites rien, c'est que vous acceptez de devenir ma soumise pour ce soir. Si vous en décidez autrement, nous continuerons la soirée comme si de rien n'était. C'est votre dernière chance d'échapper à ma domination."

5 secondes d'éternité s'écoulaient. F. ne disait rien. Elle acceptait sa soumission. Le collier se refermait. Elle lui appartenait.

Il accrochait une laisse au collier et la conduisait jusqu'au salon. La laissant au milieu de la pièce, il sortait d'une armoire quatre petits colliers et une paire de ciseaux. Il plaçait deux colliers autour des poignets et deux autres autour des chevilles. Ensuite avec les ciseaux, il découpait la jupe et les Dim-Up qui tombaient aux pieds de la soumise. Ses mains couraient sur les jambes charnues de la jeune femme. Il appréciait le grain de la peau et la souplesse de la chair.

"Vous vous êtes épilée les jambes. En revanche, comme je l'avais deviné, vous avez une culotte de cheval. C'est normal pour une soumise de votre gabarit. Il va falloir faire fondre ce gras superflu si vous voulez me plaire d'avantage. Faites du sport et un régime. Sinon je me chargerai de le faire fondre à coup de fouet. Les massages sont efficaces contre la cellulite."

"Je ferai ce que vous m'ordonnez Maître."

Le sweat-shirt rejoignait la jupe et les collants. F. était en petite culotte et soutien-gorge. Même si elle n'était pas encore tout à fait nue, un sentiment d'impudeur montait en elle. Il faut dire que F. était foncièrement pudique et timide. Elle préférait faire l'amour la lumière éteinte et se réfugiait rapidement sous les draps après l'orgasme.

Maître L. prenait F. par les hanches, il les pinçait et les malaxait. Il faisait rouler la peau du ventre entre ses doigts.

"Là aussi, vous avez trop de gras. J'aime les femmes rondes. Mais si vous perdiez un peu de vos rondeurs, votre esthétique y gagnerait beaucoup. Ca ferait moins de pli."

D'une main il tirait sur l'extrémité des balcons de soutien-gorge de F. et y découpait une ouverture. Les deux tétons ressortaient du soutien-gorge.

"Vos tétons sont très jolis : roses, auréoles larges, pas trop granuleux et pointes dressées. Ce sera un plaisir que d'y placer des pinces et d'y suspendre des poids. Seriez-vous excitée ?"

Surprise par la question, dans un état second, F. ne répondait pas. Effectivement, la situation l'excitait tout en la stressant.

" Je vous ai posé une question. Quand je pose une question je veux une réponse immédiate !" "Oui Maître !" fit F. en rougissant.

Il découpait les bretelles puis l'attache du soutien-gorge. En tombant, le soutien-gorge libérait la poitrine plantureuse.

"Vos mamelles sont lourdes et tombantes. C'est normal pour un 95 E."

Le Maître triturait les tétons, étendait et soupesait les mamelles. Pour terminer le déshabillage, L. découpait la petite culotte. F. se sentait nue comme jamais elle ne l'avait été. Durant le déshabillage, la carapace protectrice entre F. et le monde extérieur s'était petit à petit effondrée. Chaque mot prononcé par son Maître l'avait déstabilisée, fragilisée. Par réflexe de protection, elle voulut mettre ses mains devant son sexe. Maître L. lui saisit les mains et les plaquait derrière le dos.

"Ah non ! Pas de ça entre nous, vous ne devez rien me cacher. Pour cela, vous devriez être punie. Mais ce soir, je veux faire preuve de mansuétude à votre égard. Je vois que vous avez gardé votre toison. Nous allons devoir y remédier. Tournez-vous, penchez-vous en avant et écartez vos fesses avec vos mains."

F. s'exécutait livrant son intimité velue à l'oeil inquisiteur du Maître. Elle se sentait indécente à s'exhiber ainsi.

"Mon Dieu, tous ces poils ! C'est dégoûtant. Pour plaire à un Maître, il faut vous soucier de votre corps et de sa présentation ainsi que de son hygiène corporelle."

L'obscénité des mots choquait F. au plus profond d'elle-même. Elle n'avait jamais laissé quiconque la traiter ainsi. Dans son travail, elle était une femme de pouvoir et personne ne se serait laissé aller à la traiter ainsi.

"A quatre pattes ! Présentez-moi votre pied gauche puis le droit."

Telle une jument qu'il allait acheter, L. inspectait les pieds de F.

"Il va falloir aussi entretenir vos pieds. Même si votre corps n'est pas physiquement agréable à l'?il vous devez être esthétiquement irréprochable. Pour la prochaine séance je ne veux plus voir de corne sous vos pieds."

"Bien Maître."

F. était de plus en plus humiliée d'être traitée comme un simple animal. Mais c'est ce qu'elle avait recherché, et sans se l'avouer vraiment, une certaine forme d'excitation la gagnait.

Maître L. passait un doigt dans la fente du sexe et remontait entre les fesses de sa soumise avant de le porter à son nez.

"Ca sent le pipi de petite fille à plein nez. Vous n'êtes pas une femme digne de ce nom. Vous êtes une petite pissouse. Bien, je vais vous nettoyer de fond en comble ma petite pissouse. D'ailleurs tant que vous ne serez pas telle que je vous veux, je vous appellerai ainsi : Pissouse."

"Oui Maître."

"Je veux l'entendre prononcer par votre bouche. Vous vous appelez comment ?"

"Je m'appelle Pissouse, Maître."

Il attachait une laisse au collier et la menait jusque dans la salle de bain.

"A quatre pattes dans la baignoire. Je vais vous laver comme une chienne."

Il accrochait alors la chaîne au robinet et aspergeait d'eau tout le corps de la soumise avant de mettre des gants. Le contact du latex durant le savonnage était étrange et différent du contact avec la peau. En outre, le fait d'être lavée dans cette position et avec des gants faisait sentir à F. qu'elle n'était plus qu'une chienne au service d'un Maître.

Le savonnage accompli, L. prenait un gant de crin et frottait avec énergie. Il prenait un malin plaisir à s'attarder et à frotter plus dur sur les seins et les fesses.

Enfin nettoyée et la laisse décrochée, il lui ordonnait de sortir et de se remettre à quatre pattes. Il la séchait ainsi pour pouvoir continuer à la dominer.

Ensuite il la menait à quatre pattes jusque dans la cuisine et la faisait s'allonger sur la table en Formica.

"Lorsque j'épile pour la première fois une jeune chienne, j'utilise toujours le rasoir. C'est plus rapide et excitant. En revanche, lorsque vous vous préparerez pour notre prochaine rencontre, j'exige que vous vous épiliez à la cire. Si votre épilation ne me satisfait pas, je vous épilerai moi-même. Ce sera plus douloureux."

Il répandait la mousse sur le mont de Vénus. Lentement, avec précaution, il la rasait. Ensuite, il lui ordonnait de plier les jambes, de ramener ses genoux vers sa tête et de saisir ses tibias avec ses mains. Les cuisses ouvertes et la fente bien en évidence, F. exposait son intimité à son Maître. Pour terminer son oeuvre, il lui demandait de se mettre à quatre pattes et d'ouvrir ses fesses avec les mains. Il lui rasait alors le cul.

L'épilation au rasoir terminée, et le reste de la mousse enlevé, le Maître reculait pour contrôler son travail. Visiblement satisfait de son ?uvre, le Maître massait les endroits épilés avec un baume après rasage. C'était piquant mais calmait le feu du rasoir.

"Maintenant je vais faire un petit examen gynécologique. Ouvrez les cuisses."

Soudain, la panique s'emparait de F. et elle refusait de s'ouvrir.

"Si dans trois secondes vous n'avez pas ouvert vos cuisses je me verrai dans l'obligation de vous l'imposer."

Nouveau refus de F. Non, elle ne voulait pas se laisser faire. C'en était trop pour elle. Bien qu'elle se soit débattue, cinq minutes après son refus, F. se retrouvait bâillonnée, ligotée et entravée. Le Maître plaçait à l'entrejambe une sorte d'étau qui ouvrait l'intimité de la jeune femme. Il insérait un écarteur dans le vagin et ouvrait jusqu'à ce que F. émit un petit cri de douleur. Il renouvelait son acte pour l'anus. F. était totalement ouverte. Elle avait honte et pleurait autant de honte que de douleur. Le Maître ne tenait pas compte des réactions de la jeune femme. Elle n'avait pas dit "bleu" et ne faisait aucun signe de la tête. Il prenait des photos et notait des informations sur un calepin. Puis, quand il eut enlevé les instruments, il caressait les cheveux de la jeune femme et lui disait des paroles apaisantes. Lorsqu'elle fut suffisamment calmée, il la détachait, la prenait dans ses bras et continuait de l'apaiser.

"Vous avez été très courageuse même si vous avez dans un premier temps refusé cet examen. Maintenant je vais vous habiller comme une soumise. Et pour vous faire la surprise de cette transformation, je vais vous bander les yeux."

Lorsque son Maître lui enlevait son bandeau, Pissouse était devant un grand miroir et se redécouvrait. Elle portait un corset en cuir noir remontant jusqu'à la base des seins. Ce corset rehaussait ses mamelles tout en ne les cachant pas. Un porte-jarretelles noir mettait en valeur et affinait ses jambes. Ses pieds étaient chaussés d'escarpin noir. Mais ce qui l'étonnait le plus était son sexe et son cul. Epilées, ses parties intimes étaient bien visibles et avaient un coté juvénile. D'instinct elle s'agenouillait devant son Maître et se prosternait.

"Votre Pissouse vous remercie pour le mal que vous vous êtes donné à la rendre aussi belle."

"Merci Pissouse, je suis sensible à votre remerciement. Vous commencez à entrer dans la peau d'une soumise. J'aimerais que nous revoyions ensemble les positions de soumission. Allons dans le salon."

Il lui insérait des boules de Geisha et ils revoyaient les différentes positions qu'une soumise devait prendre suivant les circonstances. L. s'aidait d'une cravache pour rectifier le maintient de la jeune femme. Au fur et à mesure, il accélérait les changements.

Les boules de Geisha commençaient à agir sur F. Alors qu'elle sentait la vague lointaine d'un orgasme arriver, L. arrêtait. F. était frustrée.

"Je crois que nous en avons fini pour ce soir dans les révisions. Maintenant allez me préparer un café et servez-le-moi."

Dans la cuisine, F. soufflait 30 secondes pour reprendre ses esprits. Des vagues d'émotions sans précédant l'avaient submergée à plusieurs reprises. Ce n'est qu'au prix d'efforts importants qu'elle ne s'était pas laissée emporter par les flots. Elle était particulièrement fière de n'avoir pas utilisé son droit de veto durant l'examen de son intimité.

A son retour dans le salon, à genoux devant son Maître, les yeux baissés et le plateau dans les mains elle attendait les ordres. A la demande de L., F. déposait le plateau sur une petite table et se mettait à quatre pattes. L. plaçait alors le plateau sur le dos de F. et sirotait son café tout en relisant les confessions de F. La soumise servait ainsi de table de salon pendant une vingtaine de minutes. Le fil des boules de geisha pendait à la lisière de sa fente.

Sa lecture achevée, le Maître ordonnait à sa soumise de lui dégrafer son pantalon et de lui baisser son slip avec ses dents. Avec difficulté, car L. ne faisait aucun effort pour l'aider, F. s'exécutait devant le regard amusé de Maître L. Les mouvements qu'elle faisait pour tenter de déshabiller son Maître remettaient en mouvement les boules de Geisha. Gérer le plaisir et l'attention nécessaire pour exécuter l'ordre de son Maître n'étaient pas chose aisée mais elle y parvint.

"Maintenant vous allez me sucer pour me récompenser des efforts que je me donne pour votre éducation."

D'une main ferme, il agrippait la chevelure de F. et attirait la bouche soumise vers sa verge. Il jouait avec la tête, faisait coulisser la bouche sur son sexe allant de plus en plus au fond de la gorge. A un moment L. laissa F. faire les mouvements. Il croisait ses bras derrière sa tête pour mieux savourer la pipe et le spectacle.

"Surtout appliquez-vous. Montrez-moi ce que vous savez faire."

Voulant faire plaisir à son Maître en augmentant le plaisir de ce dernier, F. voulut aussi utiliser ses mains.

"Pissouse ! Est-ce que je vous ai autorisé à vous servir de vos mains ?"

"Non, mon Seigneur et Maître."

"Alors continuez comme ça."

Ce n'est guère facile de sucer un homme sans point d'appui. Son Maître finissait tout de même par exploser dans sa bouche. F. n'avalait pas car elle n'aimait pas vraiment le goût de la semence masculine et Maître L. n'avait rien précisé à ce sujet. Elle restait donc ainsi une ou deux minutes avec le liquide sur la langue.

"N'avalez pas. Restez à genoux, bien droite, le menton collé contre vous et ouvrez la bouche."

F. obéissait. Le mélange de semence et de salive coulait lentement du bord de ses lèvres, entre la vallée de ses seins et sur son ventre. F regrettait de ne pas avoir avalé le sperme. Elle se sentait ainsi souillée et humiliée. Lorsque le sperme arrivait au bord de son sexe le Maître lui donnait négligemment quelques Kleenex.

"Essuies-toi, tu es indécente."

Etait-ce un reproche ou un compliment ? F. hésitait à trouver la réponse à cette question.

"Vous n'avez pas joui pendant que vous me suciez et pourtant vous en aviez envie n'est-ce pas ?"

"Oui Maître. Sans votre autorisation je ne peux me le permettre."

"Très bonne réaction ! Vous n'avez pas oublié que je suis totalement votre Maître. Même vos orgasmes m'appartiennent. En récompense de votre obéissance et de vos efforts, je vais vous autoriser à jouir. Allongez-vous devant moi, masturbez-vous et jouissez. Je vous l'ordonne."

Dieu que cela était bon et gênant à la fois. Au plaisir de la jouissance s'ajoutait le malaise de l'exhibition. C'était étrange. Comme si ce malaise aiguillonnait ses sens !

Lorsqu'elle eut jouit, son Maître l'appelait à lui et la faisait s'asseoir contre lui pour la cajoler. Il était très satisfait de son comportement pour sa première expérience BDSM. Il lui promettait d'autres plaisirs nouveaux encore plus excitants.

C'était disait-il la récompense pour toute soumise obéissante. Des récompenses et des plaisirs qu'une femme non soumise ne connaîtrait jamais. Ses paroles réconfortantes s'accompagnaient de douces caresses bien différentes des manipulations de la fouille à corps. Il la touchait du bout des doigts avec lenteur et sans jamais obliger son intimité. Pour un peu, F. se serait endormie dans ses bras.

Toutefois, il était tant d'aller dormir. Dans la chambre, il y avait un grand lit à côté duquel était disposé un petit matelas pour F. Son Maître lui expliquait qu'elle n'était encore qu'au début de sa formation de soumise. Elle ne pouvait donc pas dormir près de lui car elle n'en était pas encore digne. Elle aidait son Maître à se préparer. Sans un mot, avant de s'allonger sur sa couche, elle embrassait les pieds, les mains et le sexe de son Maître pour lui rendre hommage. C'était un des articles du contrat de soumission qui les liaient. En revanche, elle prononçait des paroles qui n'étaient pas stipulé dans le contrat. Parole que tout Maître aime à entendre sortir de la bouche de sa soumise. D'une voix douce, F. lui disait : "Merci Maître".

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